Early Medicine Ancienne Médecine

Before the advent of antibiotics such as penicillin, or insulin, the cure for most illnesses depended solely on the resistance of the patient and good nursing. There were a few accepted treatments for the more common afflictions, some with justification.

Tuberculosis, diabetes, and pneumonia were a prognosis of certain death. The first two being a long,  

Willow bark was used to relieve rheumatism and painful joints. It actually has a pain killing chemical similar to that in aspirin. A sore leg was also treated with oak bark.

The Aboriginals taught the colonists to prevent scurvy with a tea made from spruce bark.

Two accepted treatments were bleeding and blistering. Blistering was used for toothaches, boils, congestion or infection used for people and livestock.

A scalding hot poultice of flour, meal, grain or stale bread and boiling water was made.This was put into a cloth and tied in place until it cooled.The heat was believed to help to draw an infection out.

In the case of colds, chest congestion, and coughs, the preferred poultice was one part mustard, four parts flour for a child with more mustard used for an adult. 

The patient’s chest was smeared with goose grease or lard and the plaster was laid, mustard side down, on the patient’s chest until it cooled. 

More grease was rubbed on the area after the plaster was removed. The heat of the plaster and burn irritation to the skin was believed to cause blood to rush to that part of the body and helped to break up the congestion or infection.

Plasters were also made from the sap or resin from evergreens such as pine or spruce. Pitch from the spruce tree was also chewed like gum and possibly provided vitamins as did spruce tea.

Bleeding was the most common medical practice usually practiced by a barber who would have a sharp blade. Bleeding was performed by surgeons until the late 19th century. 

In the absence of other treatments for hypertension, bloodletting sometimes had a beneficial effect in temporarily reducing blood pressure by reducing blood volume. In the overwhelming majority of cases, the historical use of bloodletting was harmful to patients. Blood letting was also practiced on animals.

Young children were often victims of what was known as croup. Without antibiotics the recovery rate was the result of good nursing and good luck. The fatality rate for children was high, most families lost one or more children to croup or flu. 

There was also measles, mumps, and scarlet fever without any known treatment.

Childbirth, usually attended to by a close member of the family or neighbour, was also very risky. A doctor, if there was one in the area, was only called in very difficult cases.There was little knowledge or remedies for complications with the result of death for mother, baby, or both.  

For birth control, oil of cedars, hellebore, ergot of rye, were all considered useful in preventing conception.

Mumps and measles went through the house, a severe colds and coughs were not uncommon.

Burns and scalds were frequent happenings, particularly severe among young children.

Few families escaped without the heartache of the loss of at least one child at birth or in  early life. 

Avant l’avènement des antibiotiques tels que la pénicilline ou l’insuline, la guérison de la plupart des maladies dépendait uniquement de la résistance du patient et de bons soins. Il existait quelques traitements acceptés pour les afflictions les plus courantes, dont certains étaient justifiés.

La tuberculose, le diabète et la pneumonie étaient synonymes de mort certaine. Les deux premières étant de longue durée,
L’écorce de saule était utilisée pour soulager les rhumatismes et les articulations douloureuses. Elle contient en effet une substance chimique anti-douleur similaire à celle contenue dans l’aspirine. Une jambe douloureuse était également traitée avec de l’écorce de chêne.

Les Aborigènes ont appris aux colons à prévenir le scorbut avec une tisane à base d’écorce d’épicéa.

La saignée et la cloque sont deux traitements reconnus. Les cloques étaient utilisées pour les maux de dents, les furoncles, les congestions ou les infections chez l’homme et le bétail.

Un cataplasme de farine, de semoule, de céréales ou de pain rassis et d’eau bouillante était préparé, puis placé dans un tissu et attaché jusqu’à ce qu’il refroidisse.

En cas de rhume, de congestion thoracique et de toux, le cataplasme préféré était composé d’une part de moutarde, de quatre parts de farine pour un enfant et d’une plus grande quantité de moutarde pour un adulte.

La poitrine du patient était enduite de graisse d’oie ou de saindoux et le cataplasme était posé, côté moutarde vers le bas, sur la poitrine du patient jusqu’à ce qu’il refroidisse.

Une fois l’emplâtre enlevé, on enduisait la zone de graisse supplémentaire. La chaleur de l’emplâtre et l’irritation de la peau par les brûlures étaient censées provoquer un afflux de sang dans cette partie du corps et contribuer à la décongestion.

La saignée était la pratique médicale la plus courante, généralement pratiquée par un barbier qui disposait d’une lame tranchante. Les saignées ont été pratiquées par les chirurgiens jusqu’à la fin du 19e siècle.

En l’absence d’autres traitements de l’hypertension, les saignées avaient parfois un effet bénéfique en réduisant temporairement la pression artérielle par la diminution du volume sanguin. Dans l’immense majorité des cas, l’utilisation historique de la saignée a été néfaste pour les patients. La saignée était également pratiquée sur les animaux.

Les jeunes enfants étaient souvent victimes de ce que l’on appelait le croup. En l’absence d’antibiotiques, le taux de guérison était le résultat de bons soins et de la chance. Le taux de mortalité des enfants était élevé, la plupart des familles perdant un ou plusieurs enfants à cause du croup ou de la grippe.

Il y avait aussi la rougeole, les oreillons et la scarlatine, sans traitement connu.

L’accouchement, généralement pratiqué par un membre de la famille ou un voisin, était également très risqué. Le médecin, s’il y en avait un dans la région, n’était appelé que dans les cas très difficiles. Il y avait peu de connaissances ou de remèdes pour les complications pouvant entraîner la mort de la mère, de l’enfant ou des deux.

Pour le contrôle des naissances, l’huile de cèdre, l’hellébore, l’ergot de seigle étaient tous considérés comme utiles pour empêcher la conception.

Les oreillons et la rougeole sévissaient dans la maison, et les rhumes et toux graves n’étaient pas rares.

Les brûlures et les ébouillantages étaient fréquents, particulièrement graves chez les jeunes enfants.

Rares sont les familles qui n’ont pas eu à déplorer la perte d’au moins un enfant à la naissance ou au début de sa vie.

This recipe for a sore throat dates back to 1884.

Cette recette contre les maux de gorge date de 1884.