Yves Thériault

The writer Yves Thériault whom Marcel Dubé called “the giant of literature of which he touched all aspects” lived with his partner Lorraine Boisvenue, sculptor and author of the Guide to Traditional Quebec Cuisine, in a house on Metcalfe Street, opposite the Community Center of the Anglican Church. 

Lorraine Boisvenue published several books on Quebec cuisine.

Thériault was the author of several novels about Quebec Aboriginals, including his best known work, “Agaguk”,  (Shadow of the Wolf). Published in 1958 it became an international bestseller and was adapted for the screen under the title “Agaguk”.

He was appointed Director of Cultural Affairs in the Department of Indian Affairs and Northern Development in Ottawa from 1965 to 1967. (Thériault was descended from the Montagnais)

On October 20, 1983, this author of Agaguk was struck down by a heart attack and rushed to the Lanaudière Regional Hospital Centre in Joliette where he died a few hours later. 

He was buried in the Notre Dame des Neiges Cemetery in Montreal.

His last participation in a literary launch had taken place just a few weeks earlier.

As a child living in Montreal, Theriault attended Notre-Dame-de-Grâce School and Mont-Saint-Louis College. 

Unfortunately he was obliged to abandon his studies in eighth grade. 

He worked at several jobs, truck driver, salesman, and trapper. 

Two years later, at the age of 19 years In 1934, he found himself in the Lac-Édouard sanatorium.

Released from hospital  in 1935  he was hired as an announcer for various  radio stations throughout Quebec. 

In 1940, he wrote radio sketches and numerous “dime novels” under various pseudonyms.

He went on to publish stories in Le Jour, edited by Jean-Charles Harvey. 

In 1942, hired by the National Film Board as script writer and publicist. 

From 1945 to 1950, he wrote several Radio-Canada radio series. 

He also published in various newspapers and magazines.

He published his first novel, La Fille laide in1950.

In 1950, he received a grant from the French government to make it possible live in Paris and Italy. 

L’écrivain Yves Thériault que Marcel Dubé appelait ” le géant de la littérature dont il touchait tous les aspects ” vivait avec sa compagne Lorraine Boisvenue, sculptrice et auteur du Guide de la cuisine traditionnelle québécoise, dans une maison de la rue Metcalfe, en face du Centre communautaire de l’Église anglicane.

Lorraine Boisvenue a publié plusieurs ouvrages sur la cuisine québécoise.

Thériault est l’auteur de plusieurs romans sur les Autochtones du Québec, dont son œuvre la plus connue, “Agaguk” (L’ombre du loup). Publié en 1958, il est devenu un best-seller international et a été adapté à l’écran sous le titre “Agaguk”.
Il a été nommé directeur des affaires culturelles au ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien à Ottawa de 1965 à 1967. (Thériault était un descendant des Montagnais).
Le 20 octobre 1983, l’auteur d’Agaguk est terrassé par une crise cardiaque et transporté d’urgence au Centre hospitalier régional de Lanaudière, à Joliette, où il décède quelques heures plus tard.
Il est inhumé au cimetière Notre-Dame-des-Neiges à Montréal.
Sa dernière participation à un lancement littéraire avait eu lieu quelques semaines auparavant.
Enfant, Thériault vit à Montréal et fréquente l’école Notre-Dame-de-Grâce et le collège Mont-Saint-Louis.
Malheureusement, il doit abandonner ses études en huitième année.
Il occupe alors plusieurs emplois : chauffeur de camion, vendeur et trappeur.
Deux ans plus tard, à l’âge de 19 ans, en 1934, il se retrouve au sanatorium de Lac-Édouard.

Sorti de l’hôpital en 1935, il est engagé comme annonceur par diverses stations de radio du Québec.

En 1940, il écrit des sketches radiophoniques et de nombreux “romans à dix sous” sous divers pseudonymes.

Il publie ensuite des histoires dans Le Jour, sous la direction de Jean-Charles Harvey.

En 1942, il est engagé par l’Office national du film comme scénariste et publiciste.

De 1945 à 1950, il écrit plusieurs séries radiophoniques pour Radio-Canada.

Il publie également dans divers journaux et revues.

Il publie son premier roman, La Fille laide, en 1950.

En 1950, il reçoit une bourse du gouvernement français qui lui permet de vivre à Paris et en Italie.