The Importance of Working Bees L’importance des abeilles ouvrières

Working bees, where near neighbours gathered to share the compulsory tasks of clearing a lot and constructing the required buildings, were a more practical approach to work to this intense labour. required in clearing. It was also part of the seeding and harvesting as the clearing advanced. 

These gatherings also offered newly arrived settlers essential experience while working with more seasoned settlers. 

Bees were held two or three days in the same week, sometimes at the same place, other times at various sites.

The host was expected to provide nourishment for the men during their day. The wife of the host, often friends and neighbours, contributed to the preparation of the large amount of food required to satisfy ten or more hungry workers.

In the evening the ladies joined the men for a celebration of a good day’s work with song and dance. It was felt that the presence of the ladies limited the consumption of liquor and resulting arguments. 

Imbibing too much alcohol could disrupt the celebration and occasionally resulted in tragedy such as the killing of Robert Brown.The first murder in the  Rawdon settlement on record.

The ladies also faced periods of intensive labour such as preparing flax or wool, gardening, and spinning, etc. Also bees included pickling, making jams and jellies from their gardens.

Ladies’ bees were fewer hours than the men’s as besides the specific task the bee had been called for they still had to prepare the meals for their own families. 

Quilting bees became a much appreciated social occasion among their families and neighbours.


Les abeilles ouvrières, qui rassemblaient des voisins proches pour partager les tâches obligatoires de défrichage d’un terrain et de construction des bâtiments nécessaires, constituaient une approche plus pratique du travail face à l’intensité du travail requis par le défrichage. Elles participaient également à l’ensemencement et à la récolte au fur et à mesure de l’avancement du défrichement.
Ces rassemblements permettaient également aux colons nouvellement arrivés d’acquérir une expérience essentielle en travaillant avec des colons plus expérimentés.
Les abeilles se tenaient deux ou trois jours dans la même semaine, parfois au même endroit, d’autres fois sur différents sites.

L’hôte était censé nourrir les hommes pendant leur journée. La femme de l’hôte, souvent des amis et des voisins, contribuait à la préparation de la grande quantité de nourriture nécessaire pour satisfaire dix travailleurs affamés ou plus.

Le soir, les femmes se joignaient aux hommes pour célébrer une bonne journée de travail par des chants et des danses. On estimait que la présence des femmes limitait la consommation d’alcool et les disputes qui en résultaient.

L’absorption d’une trop grande quantité d’alcool pouvait perturber la célébration et parfois entraîner une tragédie, comme le meurtre de Robert Brown, le premier meurtre enregistré dans la colonie de Rawdon.

Les dames devaient également faire face à des périodes de travail intensif telles que la préparation du lin ou de la laine, le jardinage, le filage, etc. Elles s’adonnaient également à la cueillette, à la fabrication de confitures et de gelées à partir de leurs jardins.

Les abeilles féminines duraient moins longtemps que les abeilles masculines, car en plus de la tâche spécifique pour laquelle l’abeille avait été appelée, elles devaient encore préparer les repas pour leur propre famille.

Les ateliers de courtepointe sont devenus une occasion sociale très appréciée par la famille et les voisins.