Global Warming in the 18th Century Le réchauffement climatique au XVIIIe siècle

Crossing the Pont at Quebec City Traversée du Pont à Québec

Even at this time global warming was a subject of much discussion in the New World. In his 1807 publication George Heriot cited a record of the temperatures kept by a priest on the Island of Orleans in the latter half of the 18th century that suggested the clearing and cultivation of lands contributed to the “improvement” of the climate of Canada. According to Heriot the record also suggested,  “fires kept up in the homes have raised the temperature several degrees of their former severity”. 

Analysis of the figures showed that the medium of cold in winter had diminished 8° within those 58 years. 

Heriot also noted the winter of 1799 was the last in which what was called the “pont” was formed when sleighs crossed the river on the ice. 

Much further west, William Tomison, the Hudson Bay’s first Chief Inland representative, in 1786 cited warmer climates rather than over trapping as the cause of the poorer pelts being brought to the trading post. Tim Ball, a leading expert on northern Canadian climate, agreed with Tomlison that the quality and lesser quantity of beaver pelts at that time were directly related to a rise in temperature at that time. 

Despite these observations nine years later was known as “the year without summer”.  In the month of June 1816 Quebec recorded daytime temperatures below freezing and a snow fall that remained on the ground for several days.

Adjustment to the New World was more difficult among upper class citizens than that of workers. Those belonging to the upper class were politicians, senior clergy, and wealthy 

merchants. Although there was recognition of this recognition of this upper class was present, the remaining population were not as deferential to their betters as in Great Britain. A shortage of workers allowed them to be much more independent than in the Old Country. They sat in the parlour and at the family table. They demanded a certain respect as they could walk out at some perceived slight confident another place was waiting for them. 

The hardier types soon enjoyed winter. Children seem to flourish in winter cold rather than in the heat of summer. They were taken out every day even in the coldest weather. Infants in arms were dressed in fur caps, with thick veils thrown over their heads to protect them from the wind. If they cried while they were out, they came back with the tears froze into their eyelashes, or on their cheeks; but did not seem to suffer from this exposure.

Même à cette époque, le réchauffement climatique faisait l’objet de nombreuses discussions dans le Nouveau Monde. Dans sa publication de 1807, George Heriot cite un relevé des températures effectué par un prêtre de l’île d’Orléans au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle, qui suggère que le défrichement et la mise en culture des terres ont contribué à « l’amélioration » du climat du Canada. Selon Heriot, le registre suggère également que « les feux allumés dans les maisons ont augmenté la température de plusieurs degrés par rapport à sa sévérité antérieure ».

L’analyse des chiffres montre que la moyenne du froid en hiver a diminué de 8° au cours de ces 58 années.

Heriot a également noté que l’hiver 1799 était le dernier au cours duquel ce que l’on appelait le « pont » se formait lorsque les traîneaux traversaient la rivière sur la glace.

Beaucoup plus à l’ouest, William Tomison, premier représentant en chef de la Baie d’Hudson pour les affaires intérieures, a indiqué en 1786 que c’était le réchauffement du climat, et non le piégeage excessif, qui était à l’origine de la diminution de la qualité des peaux apportées au poste de traite. Tim Ball, un éminent spécialiste du climat du nord du Canada, est d’accord avec Tomlison pour dire que la qualité et la quantité moindre des peaux de castor à cette époque sont directement liées à une augmentation de la température à ce moment-là.

Malgré ces observations, neuf ans plus tard, le Québec est connu comme « l’année sans été ». Au mois de juin 1816, le Québec enregistre des températures diurnes sous le point de congélation et une chute de neige qui reste au sol pendant plusieurs jours.

L’adaptation au Nouveau Monde est plus difficile pour les citoyens de la classe supérieure que pour les ouvriers. Les membres de la classe supérieure sont des politiciens, des membres du haut clergé et des personnes fortunées

Les membres de la classe supérieure étaient des politiciens, des membres du clergé et de riches marchands.

riches marchands. Bien que cette classe supérieure soit reconnue, le reste de la population n’est pas aussi respectueux de ses supérieurs qu’en Grande-Bretagne. La pénurie de main-d’œuvre leur permettait d’être beaucoup plus indépendants que dans l’ancien pays. Elles s’asseyaient dans le salon et à la table familiale. Elles exigeaient un certain respect, car elles pouvaient partir à la moindre velléité, sûres qu’une autre place les attendait.

Les plus robustes ont rapidement apprécié l’hiver. Les enfants semblent s’épanouir dans le froid de l’hiver plutôt que dans la chaleur de l’été. Ils sortent tous les jours, même par les temps les plus froids. Les enfants dans les bras sont vêtus de bonnets de fourrure et d’épais voiles jetés sur leur tête pour les protéger du vent. S’ils pleuraient pendant la sortie, ils revenaient avec les larmes gelées dans leurs cils ou sur leurs joues ; mais ils ne semblaient pas souffrir de cette exposition.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)